Lo
que él decía allí lo
repetía en todas partes. Había
muchos embusteros. Valientes de mata-morta,
como los melones malos. Él conocía
un guapo que se creía una fiera porque
le habían vestido de señor;
mentira todo, mentira. El muy fachenda,
hasta intentaba presumir y le hacía
corrococos a María la Borriquera,
la cordobesa que cantaba flamenco en el
café de la Peña... ¡Ya
voy! ...
Ella se burlaba del muy bruto: tenía
poco mérito para engañarla:
la chica se reservaba para hombres de valía,
para valientes de verdad; él, por
ejemplo, que estaba cansado de acompañarla
por las madrugadas cuando salía del
café. |
Ce qu'il avait dit là, il le répétait partout. Il y avait beaucoup de menteurs. Des francs-tireurs courageux, comme les méchants imbéciles. Il connaissait un vantard qui croyait être une bête parce qu'il s'habillait comme un seigneur ; mensonge, tout mensonge. Le grand snob, même quand il avait l'intention de s'imaginer quelque chose et qu'il commençait à draguer María la Borriquera de Cordoue, qui chantait des flamencos au café la Peña... J'arrive tout de suite !
Elle se moquait du grossier personnage : il avait peu d'occasions de la tromper : La jeune fille se considérait libre pour les hommes de valeur, pour les vrais courageux ; lui, par exemple, qui en avait assez de l'accompagner au petit matin quand elle quittait le café. |