El
tiempo pasó; comenzaron los zarzales
a rastrear por los desiertos patios, la
hiedra a enredarse en los oscuros machones,
y las campanillas azules a mecerse colgadas
de las mismas almenas.
Los desiguales soplos de la brisa, el
graznido de las aves nocturnas y el rumor
de los reptiles, que se deslizaban entre
las altas hierbas, turbaban sólo
de vez en cuando el silencio de muerte de
aquel lugar maldecido; los insepultos huesos
de sus antiguos moradores blanqueaban el
rayo de la luna, y aún podía
verse el haz de armas del señor del
Segre, colgado del negro pilar de la sala
del festín.
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Le temps passait. Les arbustes à épines commencaient à traîner sur les cours déserts, le lierre à s' enchevêtrer dans les butées et les clochettes bleu, accrochés au créneau du chateau à se balancer au vent. Seule des secousses du vent, le coasser nocturne des volailles et le bruit des reptiles, qui bougeaient au milieu des herbes hauts, dérangeaient de temps en temps le silence de mort de ce lieu maudit. Les os des anciens habitants, qui n' ont pas été enterré, blanchaient le rayon de lune et on pouvait voir encore l' écu d' arme du seigneur du Segre, accroché au noir colonne de la salle de fête. |