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  Un visitante nocturno (Un visitant nocturne)

texte espagnol traduction
Ante el parpadeo luminoso de las plantas y el hueco amplio del caserón, sus pupilas se dilataban, moviendo la cabeza con entusiasmo.
-Esto es un paraíso. ¡Qué lindo! ¡Qué bien se vive aquí! Si yo tuviera plata...
-No se crea- repuse. -Aquí la gente está casi casi en la misma situación que los presos en la cárcel. Allá, al menos no desesperan por la comida.
Hay obligación de darla. Tienen pan, duro, pero lo tienen, ¡qué diablos! En cambio, si no se trabaja, se roba. Y éste es un arte difícil, que los
vecinos ignoran.
Púsose triste y calló, algo avergonzado por el derrumbe de una falsa creencia muy arraigada en su espíritu.
Al irse, me estrechó con efusión la mano, y enseguida de echar una mirada larga, una de esas miradas tensas y trágicas que exteriorizan
un gran dolor recóndito, prorrumpió a grito herido:
-¡En todos lados se sufre!
Terminaba el invierno. Como de costumbre, yo salía a la puerta. Mi espera, infundada, era el efecto del hábito.
Con el tiempo, a pesar mío, lo fui olvidando, lo eché a menos, hasta que finalmente sólo recordaba con precisión una tos seca y la sombra
informe de su minúscula figura, agitándose en el oscuro zaguán de casa.
Quand il voyait comme les plantes brillaient et en voyant le grand trou de la maison, ses pupiles commenncaient à se dilater, enthousiasmé il sécouait la tête. " C' est comme le paradis. Comme c' est beau! Ici on peut vivre très bien. Si seulement j' avais de l' argent. ..."
"Ne le croyez pas", je lui ai répondu, les gens ici sont presque dans la même situation que les gens au prison, mais au prison il reçoivent au moins du pain. On est obligé à le leur donner. Ils ont du pain, du pain dure, mais il l' ont. Au diable! Par contre, si on ne travaille pas on doit voler et cela est une entreprise difficile, que la majorité des habitants ne maîtrisent pas.
Il est devenu triste, un peu honteux, que sa croyance fixe, si bien implementé dans son ésprit s' est éffondré.

En sortant il m' a donné la main, enthousiasmé et après m' avoir tiré un regard profond, un de ces regards tendu et tragique qui laisse voir une grand peine caché il écria.
"On souffre partout! "
L' hiver arriva à sa fin. Comme d' habitude je suis allé à la porte. Il était inutile de lui attendre et seulement dû à l' habitude. Contre ma volonté je l' ai oublié averc le temps, je le regrettait, mais finalment je ne pouvais me rappeller à rien d' autre qu' au toux sêche et le sombre deformé d' une figure pitoyable qui se secouait dans le couloir de la maison.

vocabulaire  
el parpadeo = cligner des yeux
el hueco = le trou
dilatar = étirer
avergonzarse = avoir honte




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